Le soutien-gorge – fausse nécessité ? 5 bonnes raisons de tester la vie sans…

10 ans….10 ans déja !
En lisant un chapitre d’un livre d’I. Filliozat (que je vous recommande vivement : « On ne se comprend plus! », sur les relations avec nos ados), je me suis dit que je devais parler de ce sujet: Le soutien-gorge ! Dans ce livre, il est question de la 1ère demande de soutif de son ado….et du fait qu’il est intéressant de sensibiliser nos ados sur le caractère non obligatoire du port du soutif…et de ses potentiels risques…

Il y a 10 ans, j’étais en formation à l’ELPM, et ma prof d’anatomie-physiologie – une médecin très ouverte et visionnaire – a sorti comme ça: « le soutien-gorge, ça ne sert à rien! Au contraire, c’est anti-physiologique, voire même dangereux! Je n’en porte pas et, à 60 ans, je n’ai pas les seins sur les genoux ! »
Waouh! Quelle franchise! Et c’est bien la 1ère fois que j’entendais parler de ça. Pour moi, il fallait porter un soutif, même si c’était souvent inconfortable…. Oscillant selon les périodes de ma vie entre bonnet B et bonnet C, je pensais cet accessoire indispensable.
Alors dans une démarche de santé naturelle, j’ai testé….et quelle découverte ! quelle sentiment de liberté ! Cela faisait 20 ans que je portais un truc qui me serrait le corps mais aussi l’esprit !
Je me rendais compte que cet accessoire « imposé » aux femmes était en fait une sorte de ceinture de chasteté…un objet de contrainte, d’enfermement…. En tout cas, c’est vraiment comme ça que je l’ai ressenti.

Depuis 10 ans, je n’en porte plus. Seulement une brassière pour faire du sport et, parfois, rarement si je ne me sens pas à l’aise sous un T-shirt qui donne une forme bizarre à ma poitrine….

Il est intéressant de savoir que le soutien-gorge est une invention du XIXe siècle et que pendant les millénaires qui ont précédé, les femmes ont vécu sans lui… En France, il semble indispensable…mais en Scandinavie, plus de 90% des femmes n’en portent pas.

A mes yeux, c’est un conditionnement social et culturel, auquel nous, femmes françaises, semblons bien soumises….

Alors voici 5 bonnes raisons de tester le « No Bra »

Bien sûr, chacune fait comme elle le sent. Mais comprendre ce qui est présenté ci-dessus permet de s’autoriser le choix!